Chapter 4370
Chapitre 4370
Sur ce, Denise s’est réjouie:
– Entendu, M. Clément ! Je vais prévenir maman comme ça. Vous irez chez nous prendre le repas après avoir être revenu. All text © NôvelD(r)a'ma.Org.
– Okay, a consenti Clément sans hésitation avant de poursuivre, Denise. Je raccroche. Je vais passer un appel à Axelle.
– D’accord, M. Clément !
Et puis, Clément a téléphoné à Axelle, qui était responsable du Nakappuis.
À l’autre bout du fil, aussi surprise que Denise, Axelle a dit le premier :
–
1. Clément… pourquoi vous m’appelez si tard?!
En souriant, Clément a parlé :
– Là, vous êtes dans l’après–midi, si je ne m’en trompe pas.
–
Non, a expliqué Axelle avec empressement, mais, c’est en pleine nuit pour vous. Vous m’appelez tard dans la soirée. Mme Huet n’est pas fâchée contre vous ? Clément a dit avec désinvolture:
–
Non, non. Je suis en train de prendre l’air seul à l’extérieur. Ben…
Axelle s’est donné du courage et a délibérément plaisanté :
– Donc, je vous manque ? Vous me téléphonez pour causer avec moi ? Ou bien, vous avez besoin que je fasse quelque chose? Clément s’est mis à rire :
–
J’ai besoin de ton aide.
Un peu déçue, Axelle a pourtant affirmé :
– Avec plaisir. Je suis toujours à votre disposition.
Clément a questionné:
– Ça te dit, le Margot Adnet de la Cité G?
– Margot Adnet? a demandé Axelle avec curiosité, le fameux riche galant de la Cité G?
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– Tout à fait, a souri Clément, c’est lui.
Axelle a raconté :
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En fait, je ne le connais pas. Mais, il y a des jours, il a envoyé son assistant me voir. On m’a appris que Margot avait envie de visiter le Nakappuis en personne et de nous entretenir de la coopération sur les affaires de navigation maritime. Margot possède aussi une compagnie de transport maritime. Mais, ces
derniers temps, cette compagnie ne se porte pas très bien, en raison de la situation économique et de l’expansion foudroyante du Nakappuis. Nos navires ne suffisent pas à satisfaire les besoins. Au contraste, 30% de la capacité des siens n’est pas exploitée. Ainsi, il veut coopérer avec nous pour que nous lui sous–traitions une partie de nos lignes.
Clément a interrogé :
–
– Est–ce que tu as parlé avec Margot Adnet?
— Non, a raconté Axelle, en effet, si nous acceptons de coopérer avec lui en sous–traitant les affaires que nous n’avons plus les moyens de faire, nous ne pourrons toucher que la commission qui ne représentera pas une énorme somme d’argent. Comme c’est lui qui demande la coopération, je veux juste le laisser patienter temporairement de manière à réduire ses attentes et à ainsi pouvoir obtenir de plus importants taux de commission au cours de la négociation au futur.
– D’accord, a souri Clément, comme ça, dis–lui que tu réfléchis à coopérer avec lui et que tu iras envoyer ton assistant effectuer une visite sur le terrain. Dis–lui de l’accueillir alors.
Très sage et sentant quelque chose d’anormal, Axelle a demandé avec précipitation:
–
– M. Clément, vous voulez vous déguiser en mon assistant pour effectuer cette visite à la Cité G en privé ?
Clément a expliqué en riant:
– Non, je ne compte pas visiter la Cité G. Je veux juste rencontrer ce Margot Adnet.
Sur ce, Axelle a paniqué :
–
– Vous êtes mon patron. Comment je pourrai faire de vous mon assistant… C’est un peu inapproprié…
– Non, a persisté Clément en souriant, tu lui donnes mon nom et lui présentes que je suis ton assistant. Dis–lui d’envoyer quelqu’un me chercher à l’aéroport à l’heure fixée. Voilà tout. – Ben, d’accord…
Sûre que Clément avait des arrière–pensées, Axelle a parlé :
– Vous êtes aux États–Unis maintenant ? Quand projetez–vous d’aller à la Cité G? Je vais communiquer avec lui.