Chapter 4268
Chapitre 4268
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Clément était un peu impuissant. Quand il avait entendu dire que son grand–père était en danger, il avait immédiatement demandé à Clothilde d’aller à Los Angeles avec la Pilule Sangeur. Il n’avait même pas eu le temps d’élaborer un plan bien pensé et une explication plausible.
Par conséquent, si son oncle a suivi les déplacements de Clothilde, il pourrait facilement remarquer ce restaurant d’Adolphe.
Adolphe a pénétré ce qu’il pensait, alors il la consolé :
M Clément, ce n’est pas grave. C’est une situation urgente et vous n’avez pas d’autre choix à ce moment–là. Heureusement, au moins, votre cncle n’a Clément a dit :
pas su votre existence.
-Je suis venu ici avec Clody. Si mon oncle trouve la vidéo de surveillance, il me reconnaîtra très probablement. Je suppose qu’Anderson a envoyé quelqu’un chercher la vidéo de surveillance ici, c’est aussi pour savoir qui je suis.
Adolphe a répondu avec un sourire: NôvelDrama.Org holds © this.
-Ne vous inquiétez pas. Il y a peu de caméras de surveillance dans ce quartier. Bien entendu, il y en avait beaucoup auparavant, mais la plupart ont été détruites et on n’installe plus. Et devant mon restaurant, il n’y a pas d’appareil de surveillance, et à la porte du restaurant d’en face, il y en a un, mais soyez assuré, cet appareil ne peut pas photographier ce qui se passe dans ma boutique. En tant que commerçant, nous n’osons pas installer l’appareil de surveillance dehors. Par conséquent, la caméra la plus proche de l’extérieur est également installée sur le dessus de l’intérieur de la porte pour
photographier toute la portée de l’entrée du restaurant, elle ne peut donc photographier que jusqu’au trottoir sur le côté au maximum, et elle ne peut pas filmer la route, et encore moins le côté opposé, vous n’avez donc pas à vous inquiéter.
Clément a hoché légèrement la tête, puis a dit :
Très bien.
En ce moment, Adolphe a repris d’un air anxieux:
-M. Clément, si vous ne voulez pas être découvert, ne venez plus… Votre oncle et les policiers… ils m’ont cherché ici et après, ils me surveilleront sûrement.
-Oui, a acquiesce Clément, après que Clody finit son concert demain, je partiral et je ne reviendrai peut–être pas à New York dans peu de temps. En apparence, cet endroit est très prospère, mais derrière les paillettes, il y a des dégueulasses et des affaires sales, je n’ai pas une bonne impression d’ici.
Adolphe a ri jaune, en disant :
C’est vrai. Il est rare de trouver une deuxième ville dans le monde qui engendre autant de maux que New York, que ce soit le brillant Wall Street ou les bidonvilles crasseux, il y a des groupes sataniques partout. Dans des bidonvilles, ce sont des maux primitifs: la violence, les fusillades, la drogue et le trafic d’êtres humains, mais dans le Wall Street, ces gens, qui réussissent, assis dans les gratte–ciel, peuvent décider en clin d’oeil la vie de dizaines de milliers, de centaines de milliers, voire de millions de personnes dans un pays du tiers–monde. Face au profit, ils ont un mépris total pour la vie.
Voyant son expression, Clément ne pouvait s’empêcher de demander:
Adolphe, tu es aux États–Unis depuis tant d’années, as–tu pensé à retourner dans le Pays C?
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Adolphe a été stupéfait un moment, puis a levé la tête sur Clément, en répondant
– M. Clément, à vrai dire, je veux retourner. Bien que mon père soit mort, ma mère vit toute seule dans le Pays C, je veux aussi l’accompagner, mais… quand M. Bitoric a négocié avec Margot, l’homme riche qui a épousé mon amour pour moi, j’ai promis devant eux deux que je ne retournerais jamais dans la Cité G dans cette vie.
Clément a déclaré d’un air calme:
-Un Margot, je m’en fiche totalement. Si tu veux rentrer, je vais t’aider.